Lancement

16 – 20 octobre 2023 - Variables

Lancement de la saison scientifique du CICC 2023-2024

Organisé par le CICC, le (RÉ)SO 16-35 et la Formation croisée / Équipe de recherche Michel Perreault.


Pour vous inscrire au concours d'affiches scientifiques du lancement de la saison scientifique du CICC, cliquez-ici pour remplir le formulaire.

Cette activité gratuite est une opportunité pour les étudiants de présenter leurs travaux de recherche et d’échanger avec les chercheurs et professionnels des milieux de pratique.


Lundi 16 octobre - 11h30 à 13h00 - ZOOM
Les policiers face aux enjeux de santé mentale

Inscription obligatoire

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Annie GendronPh. D. en psychologie. Elle est chercheuse au Centre de recherche et de développement stratégique de l’École nationale de police du Québec, professeure associée au département de psychoéducation de l’Université du Québec à Trois-Rivières, Cotitulaire de la Chaire de recherche en prévention de la santé psychologique au travail en sécurité publique, chercheuse régulière au Centre international de criminologie comparée – centre interuniversitaire et collaboratrice au Laboratoire de psychologie-légale de l’UQTR. Ses travaux portent sur les trajectoires académiques et professionnelles des policiers, les tests de sélection, la prévention des problèmes de santé psychologique des premiers répondants, les pratiques reliées à l’emploi de la force, les situations de suicide en présence policière et l’intervention policière en contexte autochtone et auprès de clientèles autochtones.

Résumé :

Autant les études scientifiques que les statistiques annuelles déclarées par les organisations policières montrent que les policiers sont de plus en plus appelés à intervenir auprès de personnes atteintes de troubles mentaux ou en crise (Agee et al., 2019; Coleman & Cotton, 2014; Dempsey et al., 2019; De Tribolet-Hardy et al., 2015). Des études internationales estiment d'ailleurs que de 6 % à 30 % du temps des policiers serait consacré à de tels appels (Miles-Johnson & Morgan, 2022; Morabito et al., 2018). Or, de nombreux enjeux se retrouvent au cœur de ces interventions délicates. Pensons notamment au risque de conduites suicidaires des personnes en crise, ou encore, à l'état d'intoxication qui peut s'ajouter aux problématiques de santé mentale déjà présentes. Cette présentation portera sur les enjeux reliés aux interventions policières menées auprès de personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux mais, surtout, sur comment les futurs policiers et les policiers y sont préparés. Il sera notamment question des formations dispensées aux policiers axées sur la désescalade, ainsi qu'un regard sur caractéristiques associées à de telles interventions. 



Mardi 17 octobre - 11h30 à 13h00 - ZOOM
Plainte en déontologie policière et expérience des plaignants au prise avec des problèmes de santé mentale

Inscription obligatoire

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Maude Pérusse-Roy est candidate au doctorat en criminologie à l’Université de Montréal. Dans le cadre de sa thèse, elle s’intéresse aux expériences de répression policière vécue par les femmes militantes ainsi que leur rapport à la violence dans les activités protestataires. Elle est également coordonnatrice de recherche pour un projet portant sur l’analyse des systèmes de gestion des déviances policières au Québec.

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Bernard St-Jacques a été directeur de la Clinique Droits devant de 2016 à 2023. Il possède une excellente connaissance des enjeux du phénomène de l’itinérance montréalais et des différents réseaux concernés. Depuis 2002, il s’engage pleinement en regard des enjeux du partage de l’espace public, de la judiciarisation et des profilages en matière de défense de droits des personnes marginalisées ou en situation d’itinérance. Il a également détenteur d’une maitrise en analyse politique depuis 2016, ses recherches ayant porté sur la criminalisation de la pauvreté et le profilage.

Résumé :

Dans l’objectif de mieux comprendre les expériences des procédures de plainte à l’endroit de la police lorsque soumise par des individus en situation d’itinérance ou aux prises avec des problèmes de santé mentale, la présentation s’intéressera aux perspectives des intervenants impliqués dans le soutien et l’accompagnement à la plainte (en déontologie policière, devant la Commission des droits de la personne et droits de la jeunesse, etc.), de même ceux impliqués dans le traitement des plaintes. Nous discuterons des principaux obstacles et défis auxquels sont confrontés ces plaignants et intervenants qui les accompagnent, mais également des points de vue des intervenants quant au fonctionnement de ces mécanismes de plainte. 



Mercredi 18 octobre - 11h30 à 13h00 - ZOOM
Problèmes de santé mentale liés aux trajectoires de prise en charge des victimes de cybercrimes

Inscription obligatoire

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À CONFIRMER, David Décary-Hétu, Université de Montréal.

Résumé :

Cette présentation est basée sur une étude sur les effets des trajectoires de prise en charge sur la santé mentale des victimes de cybercrimes. Des témoignages recueillis en ligne sont utilisés pour explorer les défis spécifiques rencontrés par les victimes de cyberattaques telles que le vol d'identité et le harcèlement en ligne. Le premier volet analyse les approches institutionnelles et communautaires disponibles pour aider ces victimes, en tenant compte de facteurs tels que la réactivité des autorités et la compréhension de la cybercriminalité. Le deuxième volet examine les répercussions sur la santé mentale des victimes et les troubles tels que l'anxiété et la dépression. La présentation souligne l'importance d'une prise en charge globale et sensible pour favoriser leur rétablissement émotionnel.


Jeudi 19 octobre - 08h00 à 16h30
Université de Montréal et en ligne - comodal
Santé mentale et judiciarisation : enjeux entourant les trajectoires de services

Inscription obligatoire

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8h00 – 9h00 | ACCUEIL – AFFICHES SCIENTIFIQUES - KIOQUES  (Salle : B-2294)

9h00 – 9h15 | MOT DE BIENVENUE (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

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Natacha BRUNELLEDocteure en criminologie, Natacha Brunelle est professeure titulaire au Département de psychoéducation et travail social de l’UQTR. Elle est la directrice scientifique du programme de recherche en partenariat (RÉ)SO 16-35. Elle est également chercheure régulière au CICC, à l’Institut universitaire sur les dépendances (IUD), ainsi qu’au groupe de Recherche et intervention sur les substances psychoactives-Québec (RISQ). Elle s’intéresse principalement à la (ré)intégration sociocommunautaire des personnes judiciarisées, aux trajectoires de rétablissement et de services en dépendance et aux liens drogue-crime.

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Michel PERREAULT, Psychologue-chercheur, Université McGill, Institut universitaire en santé mentale Douglas, IUD, RISQ.

9h15 – 9h40 | CONFÉRENCE (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Judiciarisation et déjudiciarisation de la santé mentale

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Yanick CHARETTE est diplomé d'un baccalauréat, d'une maitrise et d'un doctorat en criminologie à l'Université de Montréal, et d'un post-doctorat en sociologie à l'Université Yale aux États-Unis. Maintenant professeur agrégé à l'École de travail social et de criminologie de l'Université Laval, il s'intéresse à l'intersection des systèmes de santé et de justice et de son impliquation sur les trajectoires de vie des personnes judiciarisées présentant un problème de santé mentale. Il participe actuellement, entre autres, au projet de recherche subventionné par le Ministère de la Justice du Québec sur l’évaluation provinciale des Programmes d’Accompagnement en Justice et Santé Mentale.

Résumé : Bien que les problèmes de santé mentale ne mènent pas toujours à la judiciarisation et qu’on l’associe généralement beaucoup trop à la violence, on retrouve une surreprésentation importante des personnes présentant un problème de santé mentale dans le système de justice. Ces individus se retrouvent souvent dans cette situation car ils ont besoin de soins et le système de justice n’est pas nécessairement adapté pour répondre à ces besoins et peut même amener une dégradation de l'état de ces personnes. Cette présentation portera notamment sur la réponse pénale aux problèmes de santé mentale, mais aussi sur différentes stratégies qui ont été mises en place dans le but de déjudiciariser cette population et leur offrir des soins plus adéquats.

9h40 – 9h50 | CAPSULE-VIDÉO (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Porteurs d’initiative - Programme d’accompagnement justice santé mentale de Trois-Rivières (PAJSM)

Résumé : Le Programme d’Accompagnement Justice – Santé Mentale (PAJSM) de Trois-Rivières est un exemple positif de collaboration intersectorielle entre différents intervenants qui travaillent de concert afin que les personnes présentant des problèmes de santé mentale qui commettent des délits puissent suivre une trajectoire de services plus adaptées à leur réalité et qu’elles évitent de commettre à nouveau des délits.

9h50 – 10h15 | CONFÉRENCE (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Projets UPS-Justice et ESUP

Éric LEFEBVRE, Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal (CIUSSS CSMTL), Direction programmes santé mentale et dépendance, Continuum populations vulnérables et intervention de crise.

Résumé : Un historique et une description des équipes mixtes (policiers-intervenants psychosociaux) pour intervenir auprès de personnes présentant des indices de problèmes de santé mentale sur l’île de Montréal et leur éviter une judiciarisation seront d’abord présentés. Les défis et facteurs facilitants de ces collaborations et des trajectoires de services pour les personnes concernées seront également évoqués.

10h15 – 10h45 | PAUSE – AFFICHES SCIENTIFIQUES - KIOSQUES  (Salle : B-2294)

10h45 – 11h10 | CONFÉRENCE (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Transfert de responsabilité des Services de santé et services sociaux offerts en
milieu carcéral provincial, regard sur les services en santé mentale.

Elvira GALLANT et Audrey MELOCHE, Ministère de la santé et des services sociaux (MSSS), Services de santé et des services sociaux en milieu carcéral.

Résumé : L’organisation et le financement des services de santé et des services sociaux offerts en établissements de détention provincial relevaient, jusqu’au 1er avril 2016, du ministère de la Sécurité publique (MSP). Un transfert graduel des activités du MSP vers le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) a permis de transférer la responsabilité des services de santé et des services sociaux offerts dans les 16 établissements de détention du Québec aux centres intégrés de santé et de services sociaux (CISSS) et aux centres intégrés universitaires de santé et de services sociaux (CIUSSS) des territoires concernés. Ces transferts se sont finalisés le 1 avril 2022. Cette présentation vise à vous présenter la nature et les implications de ce nouveau mandat ainsi que de vous informer de l’état actuel des services de santé mentale. De plus, nous présenterons une collaboration gagnante entre un organisme communautaire et un CIUSSS. Finalement, une présentation des grandes étapes à venir vous sera présentée.

11h10 – 11h35 | CONFÉRENCE (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Pour amorcer un changement en toxicomanie ensemble (PACTE) : L’intervention en dépendance
à l’établissement de détention de Montréal

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Adeline GRIGORESCU, Centre de réadaptation en dépendance de Montréal Centre Nord - CIUSSS Sud CSMTL.

Biographie : Adeline Grigorescu est criminologue au service externe du centre de réadaptation en dépendance au secteur Nord du CIUSSS CSMTL. Elle est l’intervenante désignée au centre de détention de Montréal (Bordeaux).

Résumé : Le service PACTE offert à l’établissement de détention de Montréal par le Centre de réadaptation en dépendance de Montréal sera décrit et son existence expliquée. Il s'agira de mettre en évidence l'organisation des services en dépendance à l'interne et à l'externe et d'expliquer la collaboration entre les différents partenaires/ organismes impliqués afin d'en assurer une certaine continuité. Le but de ces collaborations vise à s'assurer que les besoins des détenus et ex-détenus soient bien identifiés et répondus en assurant une certaine fluidité pendant cette période de transition entre le sortie carcérale et le retour en communauté.

11h35 – 12h05 | CONFÉRENCE (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Les enjeux de santé mentale dans le cadre des mesures correctionnelles en communauté

Josée GOSSELIN, chef d’équipe, Direction des services professionnels correctionnels (DSPC) Montréal Sud/Ouest.

Résumé : Après une courte présentation sur les services offerts par la DSPC et les rôles et responsabilités des agents de probation, il sera majoritairement question des enjeux de santé mentale de la clientèle et des collaborations que les agents de probation entretiennent avec les partenaires du milieu pour répondre aux besoins en santé mentale de celle-ci. Les défis et facteurs facilitants ces collaborations seront abordés.

12h15 – 14h15 | DÎNER ET ATELIERS DE DISCUSSION EN SOUS-GROUPES (en présence et à distance) (Salles : plusieurs locaux à déterminer) 

Résumé : Durant la période du diner, les participants participeront à des ateliers de discussions interdisciplinaires et intersectoriels. Des vignettes cliniques seront utilisées afin de favoriser les échanges.

14h15 – 14h45 | PAUSE – AFFICHES SCIENTIFIQUES - KIOSQUES  (Salle : B-2294)

14h45 – 15h10 | CONFÉRENCE (en présence seulement) (Salle : B-2245)

Les collaborations avec les partenaires externes dans le cadre des suivis externes
et de la réinsertion sociale des usagers de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel.

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Caroline DESPATIESMSc, est criminologue aux services externes de l’Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel (INPLPP). Elle a occupé également plusieurs affectations au sein de la trajectoire de services en santé mentale dans le réseau de la santé et des services sociaux : unités d'expertises, unité d'admission-réadmission-expertise à l’INPLPP, PAJ-SM, UPS-justice et centres jeunesses.

Résumé : Cette présentation portera d’abord sur les différents services externes offerts par l’Institut nationale de psychiatrie légale Philippe-Pinel. Un accent sera porté sur la description des liens de collaborations avec les organismes externes à Pinel, sur ce qui les facilite et sur les défis rencontrés dans ces collaborations et plus largement pour le rétablissement des personnes judiciarisées présentant des problèmes de santé mentale suivies par Pinel.

15h10 – 15h25 | CAPSULE-VIDÉO (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Porteurs d’initiative - Programme d’accompagnement justice itinérance à la cour - (PAJIC)

Résumé : Le Programme d'Accompagnement Justice Itinérance à la Cour (PAJIC) vise à aider les personnes ayant connu une période d'itinérance à régulariser leur dossier judiciaire à la cour municipale de Montréal.

15h25 – 16h10 | PARTAGE D’EXPÉRIENCES (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Perspectives expérientielles sur l’offre de services.

Résumé : Dans ce panel de personnes avec un vécu expérientiel de santé mentale et de judiciarisation, celles-ci relateront des défis et des facteurs facilitants dans leur trajectoire d'utilisation de services publics et communautaires. Elles seront invitées à partager leurs préférences et suggestions afin d’améliorer les services. Au moins un intervenant clinique pourra se joindre au panel pour soutenir les échanges.

16h10 – 16h30 | CONFÉRENCE (en présence et à distance) (Salle : B-2245)

Retour sur les ateliers et les conférences.

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Natacha BRUNELLEDocteure en criminologie, Natacha Brunelle est professeure titulaire au Département de psychoéducation et travail social de l’UQTR. Elle est la directrice scientifique du programme de recherche en partenariat (RÉ)SO 16-35. Elle est également chercheure régulière au CICC, à l’Institut universitaire sur les dépendances (IUD), ainsi qu’au groupe de Recherche et intervention sur les substances psychoactives-Québec (RISQ). Elle s’intéresse principalement à la (ré)intégration sociocommunautaire des personnes judiciarisées, aux trajectoires de rétablissement et de services en dépendance et aux liens drogue-crime.

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Michel PERREAULT, Psychologue-chercheur, Université McGill, Institut universitaire en santé mentale Douglas, IUD, RISQ.

Résumé : Cette présentation permettra de faire un retour sur les grands constats ressortis dans les différents groupes ayant travaillé dans les ateliers.

16h30 – 16h45 | MOT DE REMERCIEMENT – REMISE DE PRIX AFFICHES SCIENTIFIQUES

(en présence et à distance) (Salle : B-2245)

16h45 – 18h00 | COQUETEL (en présence seulement) (Salle : B-2294)


Vendredi 20 octobre - 11h30 à 13h00 - ZOOM
Évaluation des programmes d’accompagnement justice santé mentale (PAJSM) au Québec

Inscription obligatoire

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Audrey-Anne Dumais Michaud,

Après avoir complété un doctorat et un postdoctorat en sociologie, Audrey-Anne Dumais Michaud est professeure à l’École de travail social et de criminologie à l’Université Laval. Ses recherches visent à analyser les mécanismes liés à l’accès et aux interventions en santé mentale justice et à préciser les besoins des personnes et les obstacles à l’intégration sociale et communautaire des personnes suites aux procédures judiciaires. L’objectif général est d’étudier les processus d’élaboration des lois, programmes et pratiques en droit et santé mentale, leur fonctionnement concret et les impacts pour les personnes et leur proche afin d’identifier des pistes d’intervention et des programmes

Résumé :

Il existe aujourd'hui plus de 30 programmes de type tribunal de la santé mentale dans la province de Québec, au Canada. Au Québec, ces programmes sont connus sous l’appellation : programme d’accompagnement justice santé mentale (PAJ-SM). Notre recherche vise à documenter et à évaluer les programmes judiciaires en santé mentale au Québec afin de déterminer leur impact sur les trajectoires de justice et de santé des participants et de déterminer s'ils répondent aux besoins des personnes judiciarisées ayant des problèmes de santé mentale qui participent à ces programmes, ainsi qu'aux besoins des intervenants. Pour atteindre ces objectifs, nous avons mis en œuvre un projet de méthodes mixtes séquentielles triangulées. Ces méthodes ciblent différentes populations afin d'obtenir le point de vue de différentes parties prenantes. Cette communication vise à présenter les données préliminaires des entretiens qualitatifs (n=42) avec des membres de l'équipe du programme de soutien à la justice et à la santé mentale, notamment des procureurs, des avocats de la défense, des travailleurs de première ligne, des juges et des agents de probation. Dans ce document, nous présentons le point de vue de ces professionnels concernant les objectifs et les attentes de ces programmes de type tribunal de santé mentale, leurs rôles au sein de ces programmes, les avantages et les défis liés à l'adoption d'une approche multidisciplinaire, ainsi que les avantages de ces programmes, et le point de vue de ces professionnels concernant les objectifs et les attentes de ces programmes de type tribunal de santé mentale.


Affiche détaillée de la conférence

Événements

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