Entités de recherche rattachées au CICC

Plusieurs chaires de recherche, ainsi qu'un réseau et des laboratoires sont directement ou indirectement rattachés au Centre international de criminologie comparée. Dirigées par nos chercheurs, ou du moins essentielles à la réalisation des travaux de recherche de ces derniers, ces infrastructures de recherche sont réparties sur plusieurs universités au Québec, à savoir l’Université de Montréal, l’Université du Québec à Trois-Rivières, le HEC Montréal et l’Université Laval.

Découvrez toutes les entités de recherche rattachées au CICC de façon interactive

Ci-dessous une présentation sommaire de ces principales entités de recherche : 

CHAIRES DE RECHERCHE

Chaire de recherche du Canada en cybersécurité

benoitdupont123.png (thumb - 100 x 100 free)Benoît Dupont est, depuis 2016, titulaire de la Chaire de recherche du Canada en Cybersécurité (niveau 1), ce pour une période de 7 ans (2016-2023).

Les objectifs de cette chaire sont de faciliter l'émergence d'un champ d'étude intégré sur la cybersécurité en développant des connaissances empiriques et théoriques transdisciplinaires sur la gouvernance et la régulation des risques numériques. À la convergence de la criminologie, de l'informatique, et des études sur la régulation, la Chaire concevra des outils permettant de comparer un vaste répertoire de politiques et de pratiques de cybersécurité implantées à l'échelle nationale et internationale. Les connaissances ainsi produites permettront de renforcer la résilience de l'écosystème numérique. 

Notons que de 2006 à 2016, Benoît Dupont fut le titulaire de la Chaire de recherche du Canada en sécurité et technologie (2006-2011; 2011-2016), dont les travaux visaient à mieux saisir les principales mutations qui affectent le domaine de la sécurité privée et publique.

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Chaire de recherche du Canada en justice internationale et droits fondamentaux

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Miriam Cohen est titulaire d’une Chaire de recherche du Canada (niveau 2) de 600 000 $ pour son programme de recherche en justice internationale, réparation et droits fondamentaux. Les recherches de la Pre Cohen portent principalement sur deux axes: le premier sur la justice internationale et la réparation pour les crimes internationaux et les violations des droits humains, et le deuxième, sur la relation entre les droits humains, les nouvelles technologies et l’autonomisation des individus et des communautés.


Chaire de recherche UQTR-ENPQ - Prévention de la santé psychologique au travail en sécurité publique

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 Annie Gendron et Andrée-Ann Deschênes sont co-titulaires de cette Chaire. Afin d’optimiser la prévention auprès des policiers et policières, la Chaire de recherche concentrera ses efforts à développer des connaissances scientifiques et à identifier les meilleures méthodes de prévention en santé psychologique au travail en vue de soutenir ces personnes et leur organisation. 

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Chaire de recherche du Canada en économie

Titulaire : Decio Coviello

decio_ciovello.jpg (thumb - 100 x 100 free)L’objectif de cette chaire (2016-2026) est de développer un programme de recherche novateur visant à mesurer l’impact de la fourniture de biens publics par le gouvernement sur les résultats économiques pertinents pour les politiques. Plus précisément, cette recherche étudiera des données massives de l’Italie, du Québec et du Royaume-Uni pour mesurer l’impact de la fourniture de biens publics par le gouvernement sur les facteurs économiques associés au développement à long terme. 

La chaire, soutenue financièrement par la Fondation canadienne pour l’innovation, le Fonds des leaders John-R.-Evans et le gouvernement du Québec, mettra sur pied le laboratoire sur les biens publics évoqué ci-dessous, dont les objectifs sont d’extraire des données approfondies à partir de dossiers administratifs uniques et de produire une analyse microéconométrique complexe des données massives.

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Chaire de recherche en prévention de la cybercriminalité

logo-crpc-fra-tag-noir.png (moyenne - 200 x 200 free)Cette chaire philanthropique, dont le titulaire est Benoît Dupont, professeur à l’École de criminologie de l’Université de Montréal, chercheur au CICC et spécialiste de la cybersécurité, vise à prévenir la cyberfraude, à mieux se protéger, mieux sensibiliser et mieux s’outiller dans le domaine de la cybersécurité, et à faire de Montréal et du Québec une plaque tournante en matière de talents dans ce domaine.

Financée par deux organisations bancaires, à savoir le Mouvement Desjardins et la Banque Nationale et dotée d'un fonds de 1 million de dollars sur cinq ans (2018-2023), cette Chaire a été inaugurée le 7 novembre 2018 à l'Université de Montréal.

Plus d'information sur la Chaire


Chaire de recherche en réinsertion sociale des personnes contrevenantes

photo-elsa-euvrard.jpg (thumb - 100 x 100 free)Elsa Euvrard est titulaire de cette Chaire (2018-2025), créée en 2018 à partir d’un partenariat entre l’Université Laval, le Ministère de la Sécurité Publique et le Ministère de la Justice du Québec. Plusieurs préoccupations sont à l’origine de la Chaire : l’intérêt de prendre en compte les situations des personnes plus vulnérables dans le système de justice, et de faire évoluer les connaissances et pratiques en matière de réinsertion sociale, pour une société plus juste et plus inclusive. La création de la Chaire repose aussi sur la volonté de créer un large partenariat entre les milieux institutionnels et universitaire, et de tisser des liens entre les différents acteurs de la chaine judiciaire, correctionnelle et communautaire.

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Chaire William Dawson (Université McGill)

marie_manikis.jpg (thumb - 100 x 100 free)Marie Manikis a débuté, le 1er mai 2019, un mandat de cinq ans en tant que titulaire d’une Chaire William Dawson. Cette chaire est décernée par l’Université McGill à un.e chercheur.euse de calibre mondial qui effectue des travaux exceptionnels et originaux et qui est en voie de devenir un chef de file dans son domaine (125,000$, 2019-2024).

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Chaire de recherche UQTR (Junior) en forensique numérique

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Maxime Bérubé est titulaire de la Chaire de recherche UQTR (Junior) en forensique numérique pour une durée de 3 ans (2022-2025), avec un financement s'élevant à 25 000$ par an. 

La Chaire de recherche UQTR en forensique numérique a pour mandat principal de développer et de diffuser des connaissances inédites sur l’identification, l’exploitation et l’interprétation des traces numériques en science forensique.



INFRASTRUCTURES

Programme (RÉ)SO 16-35

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Saisir et soutenir les processus de (ré)intégration sociocommunautaire chez les jeunes judiciarisés de 16 à 35 ans

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Ce programme, dont Natacha Brunelle est la directrice scientifique, est financé par le programme de Subventions de partenariat du CRSH (2 454 113 $, 2018-2025).

Constitué de 6 projets de recherche imbriqués les uns dans les autres et menés conjointement par 22 milieux partenaires de trois régions québécoises et 14 chercheurs de cinq universités, il vise les objectifs suivants : 1) Décrire les trajectoires de désistement de la délinquance et de la (ré)intégration sociocommunautaire des jeunes judiciarisés; 2) Analyser les liens de collaboration entre les différents acteurs du désistement de la délinquance et de la (ré)intégration sociocommunautaire des jeunes judiciarisés; 3) Élaborer des stratégies d’actions intersectorielles pour favoriser le désistement de la délinquance et la (ré)intégration sociocommunautaire des jeunes judiciarisés; 4) Concevoir, mettre en œuvre et évaluer l’implantation d’un projet pilote intersectoriel répondant aux besoins des jeunes judiciarisés dans le cadre de leur désistement et de leur (ré)intégration sociocommunautaire.

Ce programme de recherche, auquel sont associés, outre Natacha Brunelle, 5 autres chercheurs du CICC, soit Serge BrochuIsabelle F.-DufourSylvie HamelChantal Plourde et Mathilde Turcotte, devrait contribuer à développer une société plus inclusive et sûre.

Adresse courriel : reso1635@uqtr.ca

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Observatoire interdisciplinaire de recherche en justice et santé mentale

anne_crocker_mai2018.jpg (thumb - 100 x 100 free)Dirigé par Anne Crocker, cet observatoire interuniversitaire, interdisciplinaire et intersectoriel de recherche en justice et santé mentale, rattaché à l'Institut national de psychiatrie légale Philippe-Pinel, vise à réunir des chercheurs et des partenaires de partout au Québec dans les secteurs de la santé, des services sociaux, du droit, de la sécurité publique, communautaire, de la défense des droits et des représentants de la famille afin d’approfondir les connaissances, d’informer et d’améliorer les pratiques intersectorielles à l’interface de la santé mentale, de la justice et de la sécurité publique.

Sa mission est de 1) soutenir la prévention de la pénalisation et la criminalisation des personnes présentant des problèmes cognitifs ou de santé mentale; 2) faciliter l’émergence de trajectoires d’utilisation de services mieux adaptées aux besoins et aux droits des personnes vulnérables ayant des démêlés judiciaires et 3) assurer la cohérence et le suivi des interventions, l'intégration, la réintégration ou la réinsertion des personnes dans la collectivité et dans leurs communautés.

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Observatoire des profilages

celine_bellot.jpg (thumb - 100 x 100 free)Cet observatoire, dont Céline Bellot est directrice, bénéficie d'une subvention de partenariat du CRSH (2020-2027; 2 495 140$). 

L'Observatoire des profilages (ODP), composé de 37 chercheurs et de 19 partenaires terrain, a été construit comme une communauté d'apprentissage stratégique. Assurant une veille et une vigilance, il vise à développer de nouvelles connaissances sur les pratiques et les expériences de profilages, à développer des plaidoyers pour soutenir des changements dans les politiques et les pratiques institutionnelles qui permettraient d'y mettre fin.

Son originalité tient en premier lieu à sa démarche globale et systémique, mutisectorielle, intersectionnelle dans la compréhension des profilages. Elle repose aussi sur une approche interdisciplinaire et appliquée dans la définition, la mise en oeuvre et le soutien à la prise de décision pour y mettre fin. Enfin, l’ODP se distingue par sa structure partenariale organisée en une communauté d'apprentissage stratégique qui permet une circulation des savoirs, des savoirs faire et des savoirs communiquer.

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Darknet and Anonymity Research Centre (DARC) (Université de Montréal)

Financé par la Fondation canadienne pour l'innovation (FCI), le Darknet and Anonymous Research Center (DARC) est une infrastructure de recherche, dirigée par David Décary-Hétu, qui permet de comprendre et d’expliquer l’impact des technologies d’anonymat sur le phénomène de la délinquance en général, et plus particulièrement sur les activités des marchés illicites en ligne. Cette infrastructure est maintenant rendue nécessaire pour ouvrir de nouveaux chantiers de recherche sur les activités délinquantes en ligne. Ces activités, qui généraient récemment encore une grande quantité de traces, deviennent de plus en plus obscures en raison de l’adoption par les délinquants de technologies d’anonymat comme le chiffrement et les monnaies virtuelles. Le DARC compte 8 postes de travail à la fine pointe de la technologie et un nombre important de serveurs virtualisés qui hébergent les outils de collecte de données massives sur internet (DATACRYPTO) et d'analyse de flux de bitcoin (BITCLUSTER) du centre.

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Clinique juridique pour les victimes d'actes criminels (UdeM)

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Titulaires : Jo-Anne WemmersAmissi Manirabona

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Subventionnée par les Fonds d’aide aux victimes du ministère de la Justice du Canada, la Clinique juridique pour les victimes d’actes criminels (CJVAC) a pour mission de renforcer le pouvoir d’agir des personnes victimes et de former les futurs acteurs du système de justice sur les besoins, les attentes et les droits de ses dernières. Une première au Canada, la CJVAC combine la formation des étudiant-e-s en droit et en criminologie ainsi que le service à la communauté.


amissi_manirabona1.jpg (thumb - 100 x 100 free)Cette clinique a pour objectif d’informer les personnes victimes sur leurs droits et les services d’aide disponibles selon leurs besoins. L’information les aidera à prendre des décisions informées. L’accueil des personnes victimes et leurs proches qui consultent la CJVAC est fait par les étudiant-e-s en criminologie et les informations juridiques sont données par les étudiant-e-s en droit. Les étudiant-e-s fournissent donc aux personnes victimes un accompagnement informationnel, notamment en ce qui concerne le processus pénal, la terminologie juridique, la procédure judiciaire ainsi que les droits des personnes victimes y afférents. La CJVAC accueille les personnes victimes et leurs proches depuis le 1er septembre 2021.


Clinique de cyber-criminologie (UdeM)

Titulaire : Benoît Dupont

benoitdupont.png (thumb - 100 x 100 free)Fondée par Benoît Dupont, Fyscillia Ream (doctorante à l'École de Criminologie de l'Université de Montréal) et Akim Laniel-Lanani, la Clinique de cyber-criminologie a pour mission de soutenir et d’outiller les victimes de cybercriminalité et d’améliorer la coordination entre les différentes ressources et organisations de sensibilisation et d’aide aux victimes. La Clinique a pour objectif de devenir un chef de file en matière de soutien et d’informations pour les victimes de cybercrimes au Québec.

Constituée d’un regroupement d’étudiants bénévoles en criminologie de l’Université de Montréal, la Clinique de cyber-criminologie développe des outils en ligne accessibles au plus grand nombre de victime afin de mieux les soutenir et de les aider à améliorer leur gestion de la confidentialité et leur résilience numérique.


Groupe de recherche sur les agresseurs sexuels (GRAS)

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Le Groupe de recherche sur les agresseurs sexuels (GRAS), subventionné par le FQRSC - Soutien aux équipes de recherche (demande en renouvellement), est dirigé par Jean Proulx et est composé de 9 chercheurs du CICC.

Cette équipe a étendu ses activités de collaboration avec les milieux d'intervention dans le champ de l'agression sexuelle.


Équipe de Recherche sur la Délinquance en Réseau

samueltanner.jpg (thumb - 100 x 100 free)Samuel Tanner est le directeur de cette équipe subventionnée par le programme FRQSC - Soutien aux équipes de recherche et qui rassemble 8 chercheurs du CICC.

S’inscrivant dans une perspective d’adaptation réciproque des délinquants et des organisations policières, l’Équipe de recherche sur la délinquance en réseau (ERDR) entend étudier les processus par lesquels le crime a évolué vers un phénomène de réseau et, en réaction, comment les organisations d’application de la loi et de sécurité s’avère aujourd’hui plus que jamais orientées vers ce mode de réseautage. C’est sur cette interaction entendue comme dualité crime-sécurité, concept que porte le cœur de notre programme de recherche programme de recherche.


Human-Centric Cybersecurity Partnership (HC2P) (UdeM)

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Titulaire : Ce partenariat, dont Benoît Dupont est titulaire, bénéficie d'une subvention de partenariat du CRSH (2021-2026; 2 494 323$). 

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Le Human-Centric Cybersecurity Partnership est un partenariat de recherche multidisciplinaire qui propose une nouvelle approche de la recherche en cybersécurité. Mettant en avant le rôle du facteur humain dans les problématiques de cybersécurité, le partenariat rassemble des chercheurs, des organismes gouvernementaux, des partenaires industriels et associatifs pour développer de nouvelles recherches interdisciplinaires et générer des connaissances qui contribueront à créer une société numérique plus sûre, plus démocratique et plus inclusive. Le partenariat est structuré autour de dix projets de recherche qui abordent des thématiques telles que l’intégrité des processus démocratiques, la cyberrésilience, l’amélioration des politiques publiques face aux cybermenaces, la protection des données privées et les processus de décision et de changement de comportement des utilisateurs face aux risques. Basé au Canada, ce partenariat est financé par le Conseil de recherches en sciences humaines et hébergé à l’Université de Montréal au sein du Centre international de criminologie comparée.


The Technologies of Security and Mobility Observatory

david-grondin-udem.jpg (thumb - 100 x 100 free)Le contrôle de la mobilité à l’ère du numérique : la sécurisation quotidienne des mobilités humaines, financières et des données est un partenariat de recherche dirigé par David Grondin. Il a pour objectif d'examiner comment les tensions entre les demandes concurrentes en sécurité et en mobilité sont négociées par le choix et l’utilisation de technologies de contrôle de la mobilité. 

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LABORATOIRES

Laboratoire de cybersécurité (UdeM)

Grâce à une subvention FCI obtenue par notre chercheur Benoit Dupont, le CICC s'est doté d'un laboratoire de cybersécurité pouvant recevoir 10 assistants de recherche ainsi qu'un analyste programmeur et un professionnel de recherche. Des logiciels et serveurs spécialisés, servant autant aux recherches de pointe qu'aux partages de données, sont également disponibles.

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Laboratoire de Recherche sur la Technologie, l'Activisme et la Sécurité (LarTAS)

samueltanner.jpg (thumb - 100 x 100 free)Dirigé par Samuel Tanner, le laboratoire de recherche sur la Technologie, l’Activisme et la Sécurité – LarTAS – est né à l’automne 2020 de la volonté de créer un réseau de recherche et de réflexion, tant sur les plans local, national qu’international, de chercheuses et chercheurs en émergence et seniors et dont les travaux portent sur les relations entre technologie, activisme et sécurité. Le laboratoire vise aussi à favoriser l’intégration de chercheurs et chercheuses en devenir avec le milieu et le monde académique et de la recherche. 

David Grondin est également affilié au laboratoire.

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Laboratoire sur les biens publics (HEC Montréal)

Dirigé par notre chercheur Decio Coviello, ce laboratoire permet de construire, grâce à un matériel informatique de pointe, des modèles économiques développés, quantifiant comment la réduction des services de biens publics impacte l'économie. Le laboratoire utilise les changements politiques qui ont eu lieu au Québec et en Italie au cours des 15 dernières années afin de recueillir les données essentielles. Une fois que le modèle sera construit, il sera possible d'anticiper l'effet d'une future politique de biens publics.


Laboratoire de justice internationale et droits fondamentaux

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Miriam Cohen est la fondatrice du Laboratoire de justice internationale et droits fondamentaux hébergeant une plateforme numérique spécialisée pour l’analyse comparative des décisions de principe en droits humains et droit international. Ce laboratoire est financé par une subvention d’infrastructure de recherche de la Fondation canadienne pour l’innovation par l’entremise du Fonds des leaders John-R.-Evans. Ce projet a aussi reçu une subvention d’infrastructure de recherche du Gouvernement du Québec, et il est développé en collaboration avec le Centre d’expertise numérique en recherche de l’UdeM (CEN-R). Le montant total de la subvention s’élève à 397 635 $.

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Laboratoire de techniques spectroscopiques avancées pour l’analyse de traces (UQTR)

photo_cyril.jpg (thumb - 100 x 100 free)Ce laboratoire, équipé d’un spectromètre Raman grâce à une subvention de la Fondation canadienne pour l'innovation FCI obtenue par Cyril Muehlethaler, permet de développer des techniques spectroscopiques avancées pour la détection de traces en criminalistique. Il s’avère particulièrement utile pour la programmation de recherche de ce dernier, notamment en SERS (Surface-Enhanced Raman Spectroscopy).


Laboratoire TRACES (UQTR)

 emmanuel-milot-1.jpeg (thumb - 100 x 100 free)Le projet TRACES consiste en la création d’un laboratoire pour l’extraction de l’ADN à partir de tout type de traces et restes biologiques, modernes et anciens. Emmanuel Milot en est le responsable.

Ce projet découle d’une volonté de doter l’UQTR d’une infrastructure de pointe pour les recherches en génétique forensique, avec un effet structurant pour la criminalistique, la thanatologie et d’autres disciplines. En effet, l’UQTR a récemment (2018) investi ~2M $ pour construire une salle blanche dans le pavillon Pierre-Boucher, qui permet de contrôler la quantité de microparticules dans l’air. Il a été décidé en 2019 de dédier cette salle aux manipulations très délicates sur l’ADN provenant de traces.


Groupe de Recherche en Science Forensique (UQTR)

La recherche du Groupe de Recherche en Science Forensique (GRSF) ambitionne de participer à la lutte scientifique contre les atteintes aux personnes et aux biens par l'analyse des traces physiques, biologiques, chimiques et numériques, résidus d'activités illicites. La figure ci-contre, décompose la mise en oeuvre de cet objectif politique du GRSF aux niveaux stratégique et opératif, dans lesquels s'inscrivent les projets de recherche menés par les chercheurs.

Six chercheurs du CICC, tous rattachés au Département de chimie, biochimie et physique à l’UQTR, y participent à titre de chercheurs réguliers, soit Frank Crispino, Emmanuel Milot, André Lajeunesse, Shari Forbes, Maxime Bérubé et Cyril Muehlethaler


2017-01-25-11_36_35-infrastructures-support-du-lrcfrankcrispinopdf-adobe-acrobat-reader-dc.png (moyenne - 200 x 200 free)Laboratoire de scène de crime 

Destiné à restituer en dernière année du premier cycle l'ensemble des connaissances acquises, le laboratoire de scène de crime est composé d'une salle humide (pouvant simuler une cuisine, une salle de bains, etc.) mitoyenne à une salle sèche (salon, bureau, chambre) que l'on peut séparer ou connecter et auxquelles on accède par un couloir commun.

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Laboratoire de photographie forensique 

Studio photographique professionnel réservé à la photographie de reproduction des pièces et traces soumises à l'analyse, ce laboratoire se compose d'une table sans fond, d'une table lumineuse, de deux boites de lumières, de quatre flashs professionnels pouvant délivrer 1100 Ws chacun alimentés par deux Powerpacks, de quatre lumières d'ambiance à 6500K, de deux Lumahawk (1200 W continus à 6500K), de réflecteurs, de déflecteurs. 

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Laboratoire de luminescence 

Douze postes de travail complets (colonnes photographiques, appareils photo à demeure, lampes monochromatiques, filtres d'excitation et d'émission) constituent ce laboratoire plongé dans l'obscurité permettant l'enregistrement des traces brutes ou révélées par des méthodes optiques sensibles fondées sur l'absorption sélective et la luminescence (empreintes digitales, traces de semelles ou d'outils, contaminants, etc.).

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Laboratoire de chimie forensique 

Ce laboratoire est plus particulièrement dédié à la révélation des différentes traces chimiques, physiques et biologiques auxquelles seront confrontés les étudiants et chercheurs. Sécuritaire et contenant le matériel traditionnel nécessaire à un chimiste organicien (verrerie, balances, bains à ultra-sons, agitateurs, hottes, étuves, etc.), il abrite deux cuves à fumigation de cyanoacrylate, une cuve à fumigation sous vide (don de la Sûreté du Québec) et un microtome.

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Laboratoire d'optique forensique 

Ce laboratoire est dédié à l'observation sous différents grossissements des spécimens soumis à l'analyse (fibres, terres, verres, éclats de peinture), et à leur identification comparative, voire spécifique par la microscopie en polarisation. Un jeu de caméras et de tubes focaux permet l'enregistrement sur systèmes dédiés ou par les appareils photo professionnels dont dispose le profil. Doté d'un microtome, de 11 stéréomicroscopes et de 12 microscopes composés.

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Laboratoire d'analyse forensique 

Dans le concept d'une formation spécifique au profil criminalistique, le labo 3132 est le lieu de remise et de premières observations des pièces à conviction soumises à l'analyse des étudiants, afin de déterminer la stratégie analytique à développer pour répondre à la question d'expertise posée. Il est aussi l'endroit où se conclut l'examen par la consultation des bases analytiques constituées pour les besoins du profil et la rédaction des différents rapports.

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